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26 mars 2011

ME REVOILA !!!

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29 décembre 2008

psychanalyse

Willy Barral, psychanalyste : « L'histoire des parents s'écrit dans le corps de l'enfant »



Maux de ventre, asthme, angines chroniques... Et si ces symptômes chez l'enfant étaient une façon d'exprimer ce qui, dans sa famille, a été dissimulé ? C'est...

Willy Barral, psychanalyste : « L'histoire des parents s'écrit dans le corps de l'enfant »

Maux de ventre, asthme, angines chroniques... Et si ces symptômes chez l'enfant étaient une façon d'exprimer ce qui, dans sa famille, a été dissimulé ? C'est la thèse que développe le psychanalyste Willy Barral dans son dernier livre.

Dans votre livre, vous postulez que les troubles psychosomatiques des enfants sont une mise en maux des problèmes non réglés de leurs parents. Comment distinguer ces symptômes spécifiques des affections ordinaires ?
Willy Barral : Toute maladie, comme l'indique le signifiant même, est un « mal à dire » une souffrance, et doit donc être soignée en tant que tel; c'est pourquoi j'évite de classifier les maladies en groupes distincts. Corps et esprit ne font qu'un. Le corps pense, parle et désire, et l'esprit s'incarne dans le corps. Soigner le corps ne devrait donc pas interdire de soigner l'âme. Les troubles psychosomatiques ne sont pas des maladies imaginaires, ils sont bien réels et expriment une souffrance qui ne parvient pas à se dire autrement. Les troubles qui résistent aux traitements classiques, médicamenteux, révèlent une histoire, celle qui n'a pas pu se raconter. Lorsque, chez
l'enfant, le trouble est chronique, rebelle à tout traitement, il faut chercher à le décrypter plutôt qu'à l'effacer. Mais malheureusement, on ne prend pas encore l'enfant au sérieux, on n'écoute pas ce que ses petits maux de ventre, de tête ont à dire.

Comment l'enfant peut-il capter et écrire dans son corps les non-dits de ses parents ?

Françoise Dolto considérait l'enfant comme un sujet de désir autonome. Elle disait qu'il était appelé par le désir de communiquer avec un autre dès sa conception. Ce désir, qui s'articulera plus tard autour du langage, est d'abord présent dans le corps. Avec sa peau, ses sens, son corps et son inconscient, l'enfant happe, capte et intègre l'histoire psychique de ses parents. C'est ce que l'on appelle « s'incarner dans une histoire familiale ». Littéralement. Dolto n'a pas imaginé cela, elle l'a constaté. Dans les dessins qu'elle recevait, les enfants racontaient des choses dont leurs parents n'avaient jamais entendu parler, mais qui étaient ensuite validées par les grands-parents ! Le bébé communique avec ses cinq sens, mais comme les parents ne comprennent pas forcément cette communication subtile, ils considèrent que communiquer, c'est parler.

29 décembre 2008

articles famille

Ado et porno : des liaisons vraiment dangereuses ?

Regarder un film pornographique est devenu, pour beaucoup de jeunes, le premier rite de passage vers la sexualité. Quel impact peut avoir sur l'ado cette représentation des rapports...

Ado et porno : des liaisons vraiment dangereuses ?

Regarder un film pornographique est devenu, pour beaucoup de jeunes, le premier rite de passage vers la sexualité. Quel impact peut avoir sur l'ado cette représentation des rapports sexuels ?

« J'avais 15 ans lorsque j'ai vu mon premier film porno, chez une copine qui avait piqué une cassette vidéo à son père, raconte Eléonore, 22 ans. J'avais déjà regardé des films dits érotiques, mais je n'oublierai jamais la fascination qu'a exercée sur moi cette vision, en gros plan, de la sexualité. On avait beau échanger des rires gênés, on était scotchées à l'écran : on comprenait enfin comment "ça" marchait ! ».

Jusqu'en 2002, l'âge moyen de visionnage du premier film X se situait autour de 13 ans, indique la philosophe et sociologue Michela Marzano. Cet âge n'a pu aujourd'hui que baisser, notamment parce qu'Internet a mis le porno à la portée de tous... « Je ne connais personne autour de moi qui n'ait jamais regardé un film porno à l'adolescence », confirme Pierre, 26 ans. Et cela, bien avant d'avoir eu une expérience sexuelle.

Passer à l'âge adulte

Pour le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron, ce visionnage de films porno est une nouvelle forme de rite du passage à l'âge adulte. Les jeunes gens, surprotégés par leurs parents, sont adolescents de plus en plus longtemps. Pour tracer leur frontière entre hier et demain, ils ont adopté des comportements tournant essentiellement autour de la violence et de la sexualité. Or, la pornographie est au croisement des deux. Le visionnage de ces images permet aux ados de se dire qu'ils sont devenus « grands », tout simplement parce que, initialement interdites aux mineurs, elles mettent en scène des comportements sexuels supposés être adultes.

Mais ce rituel de l'image pornographique par lequel passe une grande majorité des jeunes d'aujourd'hui comporte en réalité deux niveaux. Le premier, lorsque le jeune a regardé un film X, le second lorsqu'il est en position de reproduire ce qu'il a vu. Le véritable risque de la pornographie étant alors de croire que la sexualité se passe comme dans ces films.

29 décembre 2008

tous ces articles sont pris sur internet ,

tous ces articles sont pris sur internet , réalisés avec des pedopsychiatres plus ou moins connus ..
j'aurais pu simplement les lire mais j'avais envie de vous les faire partager ..
chacune d'entre nous pourra se retrouver un jour dans ces articles et pourquoi  pas les aider à  mieux comprendre son enfant .
sincèrement .

29 décembre 2008

articles famille

Ma fille a choisi de vivre avec son père. Vais-je la perdre ?

Je divorce et ma fille âgée de 10 ans a choisi de vivre avec son père, ce que j'ai accepté car elle m'a dit se sentir mieux avec lui. Mon chagrin est immense. Sa...

Ma fille a choisi de vivre avec son père. Vais-je la perdre ?

Je divorce et ma fille âgée de 10 ans a choisi de vivre avec son père, ce que j'ai accepté car elle m'a dit se sentir mieux avec lui. Mon chagrin est immense. Sa décision me fait d'autant plus de mal que j'ai subi un harcèlement moral et ayant porté plainte pour violence conjugale il y a 10 mois. J'ai fait en sorte qu'elle ne rejette pas son père, et le voit souvent. Elle fait comme si rien ne s'était passé, elle a pourtant entendu son père me dénigrer à cause de mon infidélité. Mes amis me reprochent de céder à ses caprices, mais je ne veux pas lui imposer de vivre avec moi, ni prendre le risque qu'elle me rejette, ne travaille plus à l'école ou fasse une dépression. Je lui ai dit que je ferai tout pour qu'elle soit heureuse, que je l'aime, que je ne lui en veux pas de retourner chez son père, que ma porte sera toujours ouverte. Je sais aussi que son père, qui n'a jamais accepté son départ, me laissera tranquille. Je voudrais que tout s'apaise pour elle. J'ai peur d'avoir perdu ma fille. Pouvez-vous me rassurer ? (Lysa, 43 ans)

En laissant votre fille choisir elle-même avec qui elle veut vivre, vous créez en elle un conflit de loyauté. Même si son discours conscient est clair, même si elle exprime ouvertement et sans nuance son désir de vivre avec son père, inconsciemment elle se retrouve dans une position très culpabilisante. Un enfant aime ses deux parents et choisir l'un des deux l'oblige à "trahir" l'autre. Dix ans, c'est jeune pour décider de ce que sera sa vie, vous ne trouvez pas ?

Même lorsqu'il y a une séparation, le couple parental demeure responsable des choix éducatifs, du lieu de résidence et de l'aménagement du droit de garde. C'est une décision qu'ils prennent tous deux, parfois difficilement quand il y a des conflits, mais qu'ils ne peuvent en aucun cas "déléguer" aux enfants. Votre mari semble faire pression sur votre petite fille pour influencer son jugement. Vous savez à quel point les enfants sont manipulables. Son souhait d'aller vivre avec son père ne signifie aucunement qu'elle vous aime moins qu'elle ne l'aime, comme vous semblez le penser.

Derrière les actes, il y a toujours des motivations inconscientes qui en rendent l'interprétation "au premier degré" tout à fait caduque... Ce qui est à interroger, c'est la facilité avec laquelle vous vous pliez à cette "sanction". A vous lire, on pourrait penser que vous acceptez le "rejet" de votre fille parce que vous sentez coupable d'avoir trompé votre mari, et coupable d'avoir ainsi provoquer le divorce. Votre vie sentimentale, vos difficultés de couple n'ont rien à voir avec votre fonction maternelle. Il serait temps de vous ressaisir et de trouver un modus vivendi plus équitable pour vous. La solution de la garde alternée pourrait permettre et à votre mari de s'occuper de sa fille sans vous déposséder de vos droits, et à vous de vous en occuper également.

Réfléchissez à une solution plus satisfaisante pour vous et votre fille et n'hésitez pas à tenir votre position face à votre ex-mari. Quelles que soient ses tentatives de déstabilisation, restez ferme. Vous en avez légitimement le droit. Il n'est jamais trop tard pour revenir sur une décision quand elle n'est pas adéquate. Et si votre mari reste dans le même état d'esprit, faites intervenir un médiateur voire un avocat si c'est nécessaire. La loi protège les droits des mères comme ceux des pères. Il n'y a aucune raison que vous vous "sacrifiez" ainsi.

Catherine Marchi, psychologue clinicienne, est diplômée de l'Université René Descartes Paris V.

A lire également :
• Beaucoup pensent que le divorce est une mauvaise chose pour les enfants. Est-ce exact ?

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29 décembre 2008

article enfants

Votre enfant est gros, comment l'aider ?

De plus en plus d'enfants touchés par l'obésité dans une société qui prône la minceur... Génétique, sédentarité, mauvaises habitudes...

Votre enfant est gros, comment l'aider ?

De plus en plus d'enfants touchés par l'obésité dans une société qui prône la minceur... Génétique, sédentarité, mauvaises habitudes alimentaires, quels sont les facteurs déclenchants ? Comment reconnaître les symptômes ? Conseils aux parents pour qu'un problème de poids ne devienne pas un problème de vie.

En quinze ans, le nombre d'enfants obèses, en France, a doublé. « 12 % des enfants de 5 à 12 ans sont touchés » Bien que l'on soit encore loin des Etats-Unis (17 %), ces chiffres suscitent désarroi, inquiétude et panique. Car, dans une société où la minceur est érigée en norme de beauté, de santé et même de morale, l'obèse – petit ou grand – est montré du doigt. Bien que l'on sache aujourd'hui que l'obésité est une vraie maladie, l'idée que le "gros" est responsable de son poids demeure ancrée dans l'inconscient collectif. La stigmatisation qui le touche dès son plus jeune âge peut le conduire à s'enfermer dans son surpoids comme dans une carapace.

L'obésité menace aussi sa santé : arthroses du genou et scolioses sont aggravées par l'excès de poids ; des apnées du sommeil peuvent provoquer des troubles de la mémoire et gêner la scolarité. Mais le principal risque de l'obésité infantile, c'est sa persistance à l'âge adulte... Comment l'enrayer ? Pour que les enfants, placés dès leur naissance dans un environnement qui les pousse à prendre du poids, ne deviennent pas obèses, le dépistage et la prévention semblent aujourd'hui la meilleure solution.

Rondouillard ou obèse ?

L'obésité se caractérise par un excès de masse grasse : un enfant obèse est un enfant plus gros que la moyenne. Pour mesurer sa corpulence, on utilise l'IMC, l'indice de masse corporelle, qui est égal au rapport du poids sur la taille au carré (P/T2). Avec l'âge, cet indice varie. Pour savoir si un enfant est juste rondouillard ou franchement obèse, on se réfère donc à des courbes de corpulence établies à partir d'études de toute une population d'enfants, réa-lisées entre 1953 et 1974.

Ces courbes de références, différentes selon le sexe et présentes dans les carnets de santé depuis 1995, établissent des seuils qui permettent de définir « surpoids » et « obésité ». Quand l'enfant dépasse le seuil le plus élevé, il entre dans la catégorie des obèses. Exemple : une petite fille de 5 ans pesant 25 kilos et mesurant 1,10 mètre est obèse ; à 22 kilos, elle souffrirait de surpoids ; à 20 kilos, elle serait dans la norme.

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29 décembre 2008

repas du soir

alors pour ce soir je viens de faire un poulet a l'indienne qui m'a juste l'air divin ..
je vous donnerai l'avis de mon mari et de mes enfants!!
a faire avec du riz bien sur ....miam miam

29 décembre 2008

alors j'ai pas commenter star ac puisque j'ai

alors j'ai pas commenter star ac puisque j'ai délaissé mon blog pendant tout ce temps...
ouh la vilaine !!!
je reprendrai la relève pour la nouvelle star si il y a!!

29 décembre 2008

article famille

Je n'arrive pas à rassurer mon enfant

« Rien ne vaut le contact physique pour apaiser un enfant qui se réveille la nuit en pleurant, estime la psychologue et psychothérapeute Isabelle Filliozat. Ce qui n'empêche...

Je n'arrive pas à rassurer mon enfant

« Rien ne vaut le contact physique pour apaiser un enfant qui se réveille la nuit en pleurant, estime la psychologue et psychothérapeute Isabelle Filliozat. Ce qui n'empêche pas de chercher l'origine de sa peur. »

«Trois heures du matin. Dans la chambre à côté, les pleurs ont ­retenti une fois de plus. Paroles sécurisantes ("Je suis à côté"), explications rationnelles ("Les monstres, ça n'existe pas"), menaces... Vous avez essayé de trouver les mots qui calment. En vain. Normal, car le langage, adapté pour raisonner un adulte inquiet, l'est beaucoup moins pour apaiser un enfant anxieux. La nuit, les ­enfants sont davantage sécurisés par le contact physique. Rien de magique à cela, le toucher déclenche la production d'hormones (ocytocines, endorphines) qui dimi­nuent l'anxiété ou la douleur.

N'hésitez donc pas à prendre votre enfant dans vos bras ou à vous allonger quelques minutes à ses côtés, il se calmera instantanément. Essayez d'oublier vos a priori culturels ou éducatifs : il ne fait pas un caprice, il ne cherche pas à vous manipuler ni à détruire votre couple en obligeant l'un de ses parents à quitter le lit conjugal. Il a simplement besoin d'être rassuré, pour une raison précise, parce que quelque chose dans sa vie le trouble, l'inquiète, chose qui se métamorphose en sorcière ou en voleur la nuit. C'est évidemment cette cause qu'il faut, dans un second temps, tenter de découvrir, pour la maîtriser et supprimer du même coup ses réveils nocturnes. Est-ce qu'il est anxieux parce que sa grand-mère est à l'hôpital ? Est-il jaloux de son frère et honteux de l'être ? Est-ce que sa maîtresse l'a grondé ? Rassurer un enfant sans chercher l'origine de sa peur revient à donner un coup d'épée dans l'eau. Pour en savoir plus, n'hésitez pas à le questionner, observez-le attentivement dans la journée et, s'il ne parvient pas à exprimer son malaise, et que celui-ci dure, mieux vaut prendre un rendez-vous avec un psychologue.

De nombreux parents attribuent à tort à leurs enfants les angoisses qu'ils ressentaient pendant leur enfance. Tel ce couple dont la petite fille se réveillait toutes les nuits et qui, persuadé qu'elle avait peur du noir, n'avait pas pris la peine de lui demander pourquoi. Une brève thérapie a permis de dévoiler qu'un petit garçon la malmenait pendant la récréation.

Faut-il laisser pleurer un enfant pour "l'endurcir" ou, à l'inverse, se précipiter au premier sanglot pour éviter que son chagrin ne dégénère en angoisse ? Ces deux atti­tudes éducatives extrêmes, souvent dictées par notre passé (nos parents se levaient-ils, la nuit, pour nous consoler ?), sont à éviter. Il n'est pas question ici d'éducation, mais de rassurer un enfant inquiet qui ne pleure pas sans raison. »

À lire

Les Peurs de votre enfant de Marianne Garber, Stephen Garber et Robyn Spizman
Par des psychologues spécialistes de l'éducation, un guide bien fait pour aider enfants et parents à dormir tranquilles (Odile Jacob, "Pratique", 2006).

26 décembre 2008

va me falloir du temps pour rattraper tout ce

va me falloir du temps pour rattraper tout ce temps perdu ... et remettre mes photos dans l'ordre !!!!!

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